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Terre intérieure

  • Photo du rédacteur: LaBohèmeelisatorre
    LaBohèmeelisatorre
  • 3 mai
  • 1 min de lecture

Au cœur du corps féminin, un sanctuaire.

Un lieu où la vie s’invente, se transforme, se transmet.


Les trompes, dessinées ici comme des branches fleuries,

sont les messagères silencieuses de la création.

Elles accueillent, guident, relient.

Elles ne sont pas de simples conduits :

elles sont des arches vivantes, des passerelles entre le possible et le réel.


Dans cette œuvre, tout se mêle , l’anatomie et la poésie, la nature et la puissance intime du féminin. Les fleurs, les spirales, les étoiles ne décorent pas : elles révèlent.


Elles racontent la force douce de celles qui portent le monde, et la nécessité de prendre soin de ce centre trop longtemps invisibilisé.


L’utérus ici devient cosmos, jardin sacré, force tranquille.

Un appel à écouter son corps, à honorer son pouvoir, et à reconnaître en lui non un mystère,

mais une vérité : celle d’être créatrice, entière, vivante.


Elisa


 
 
 

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